Le salar d’Uyuni
Avant tout on voulait quand même préciser que le Salar était Une des destinations que nous attendions le plus.
On se lève vers 4h, on finit nos sacs vite fait, on part pour le petit déjeuner. Un thé, un biscuit et on charge les voitures.
On part pour le lever de soleil en plein milieu du désert de sel. Ici tout est blanc, les voitures roulent vite : 60 à 80 km/h et on ne voit que du blanc.
Le chauffeur se gare sur une étendu blanche, on admire le début du lever de soleil. On en profite pour faire quelques photos.
Nous pouvons profiter du drone des allemands. Ils nous prennent tous en vidéo et je lui propose de faire de même, il me confie son appareil (Cyril) j’en prends soin et suis très content de piloter un drone.
Ensuite, nous partons pour une petite île avec plein de cactus en plein milieu de ce désert de sel.
Il y a une petite marche à faire, c’est parti ! Le soleil commence à réchauffer le climat, ça nous fait du bien à tous.
Notre guide et Pysei nous offre une petite démonstraton de danse (le guide nous a assuré qu’il savait danser … Petit menteur ! On aura bien rigolé !)
Nous reprenons la voiture, 1 heure de route plus tard, avant de nous arrêter pour faire la séance photo du Salar d’Uyuni.
On s’amuse, on sort tous nos souvenirs, le Moaï, la fleur en aimant. Nous prenons aussi les objets du chauffeur, le dinosaure, la serviette micro-fibre, bref on s’amuse. On vous laisse voir la série de photos !
On part ensuite déjeuner rapidement au premier gîte de sel du salar d’Uyuni. Il a même eu l’occasion d’héberger le rally du Paris Dakar quand il a changé de continent. Nous prenons encore quelques photos. Puis nous allons manger notre déjeuner.
Fin du rêve, bonjour les galères
Durant ces 3 jours de voyage nous étions très stressés dû au mouvement politique qui ce passait en Bolivie. Il se passe des élections qui ont encore pas mal bouleversé le pays. La ville d’Uyuni où nous devions aller pour prendre un bus pour Sucre est complétement bloquée et inaccessible. Interdiction à tous véhicules de rentrer ou de sortir.
Du coup, on nous dépose dans un village ou il y a que 4 voitures et 1 minibus. A peine arrivée, c’est comme en Asie, premier arrivé, premier servi. Alors je (Cyril) me précipite un peu vers le chauffeur du seul minibus présent et le supplie de nous faire monter même dans le couloir, on s’en fou, on a déjà vu pire.
Le chauffeur accepte de nous amener mais je vois 2 locaux qui n’embarquent pas alors qu’ils avaient l’air d’attendre. J’ai vu le chauffeur parlé avec eux, j’en déduis que les locaux nous offrent leurs places, on les remercie infiniment, et leurs offrons des tours Eiffel.
Avec ce coup de stress, on part tellement vite que Cyril en oublie sa serviette, son maillot de bain et sa casquette dans le 4×4… Tant pis ça fera des heureux, puis ça complétera sa collection de Tong.
On part pour une ville intermédiaire où quand on arrive on nous dit que ce n’est pas possible d’aller à Sucré, pourtant, il y a une route qui y va on ne comprend pas trop. Mais d’autres touristes présent nous disent que si on veut y aller c’est un minibus privé à 300€ où il faut aller à Oruro pour redescendre, cela rajouterai plus de 5 heures de trajet… On voulait descendre et essayer le stop, mais sur cette route on voit que 3 voitures passer, on se dit que ça ne va pas aller, on part avec les autres touristes pour Oruro.
1 kilomètre plus loin on voit les bus pour aller à Sucre qui passe dans l’autre sens…Nous sommes un peu dégoûté! Cyril veut descendre mais c’est trop tard… On s’est fait avoir comme des débutants ! Nous arrivons donc à 20h à Oruro, il nous faut encore 13 heures de bus pour aller à Sucre.
Nous sommes très fatigués, nous n’avons plus envie de faire autant de trajet alors que nous étions plus près. Surtout qu’on arrive sous un orage exceptionnel, aucune envie de rester là dans cette ville où tous le monde cri ! On renchaîne donc avec un bus de 3 heures pour La Paz.
Ce bus a été pris à la volé, on le paie vraiment pas cher, on croit même à une arnaque. On est que 3 touristes dans ce bus, le reste que des mamas local avec leurs sacs hyper gros.
On arrive vers 23 heures sur La paz, je laisse la suite pour le prochain article.
2 Commentaires
Trop cool vos photos !!!!
15 janvier 2022 at 22 h 31 minOn angoisse pour vous…..
11 octobre 2020 at 21 h 50 min