Plongée N°5

Nous continuons sur une journée de plongée de plus, qui seront les deux dernières à Fakarava.

La particularité ici, c’est que nous plongeons tous les matins au même endroit et l’après-midi pareil. Donc on aura plongé 3 fois sur les 2 sites. Le truc, c’est que même si on plonge au même endroit, les rencontres sont différentes, la plongée est différente et les sensations sont différentes.

Une nouvelle fois nous plongeons et tout se passe bien. On sait que cette plongée est réputée et qu’il est possible d’y trouver une dent de requin parmi les coraux morts vers la fin de la plongée (le spot s’appelle Alibaba). On passe donc les dernières minutes de notre plongée, à tous chercher activement un petit trésor.

Manque de chance, personne ne trouve. Mais évidemment on aura vu pleins de choses merveilleuse et c’est le plus important.

Plongée N°6

Nous faisons encore de belles rencontres.

Et nous voyons même quelque chose d’inespéré ici, à cette époque de l’année ! Une raie Manta !!! Pour la petite information je filmais Cyril, qui s’est mis à gigoter comme un dingue pour nous avertir qu’il y avait une Manta !!! Petite précision de Cyril, elle nageait super vite et la raie Manta était dans le dos de tous les plongeurs, alors réaction extrême !

On recroise aussi le banc de poisson, mais de plus loin cette fois ci.

Le soir, on va sur le ponton et on profite. Pour ceux qui regardaient les story sur instagram, c’est le soir où le chien a sauté sur un requin dormeur du ponton. Le requin est parti et le chien est revenu sur la plage.

Dernière journée sur Fakarava

Pour notre dernière journée, la plongée est interdite. On ne peut pas plonger 24H avant de prendre un avion. Nos hôtes nous proposent de nous emmener sur une plage éloignée pour aller péché au harpon.

Papi nous ouvre une petite noix de coco.

Notre ami Poiti !

La silhouette de Cyril en train de chasser …

Nous restons avec notre amis Poiti, qui nous montre comment faire, mais impossible de pécher. On se sera quand même bien amusé.

Il est déjà l’heure de se dire au revoir, on nous offre des colliers de coquillages … et il est temps de payer.

Pour information, le prix était de 70€ la nuit en demi pension. C’était ce qui restait de moins cher, un mois à l’avance. Tellement moins cher que le reste de l’île. Il n’y avait même pas internet, ce qui fût très compliqué pour les joindre. On les a appelé plusieurs fois depuis Moorea avec le téléphone d’un local pour confirmer que ce prix était pour la chambre et non pas par personne. Au moment de payer, on lui donne l’équivalent de 280€ en cash pour 4 nuits (c’est énorme pour un budget Tour Du Monde). Notre « Mamie » nous annonce que c’est le prix est par personne et qu’il manque la moitié.

Petit problème et départ

Autant vous dire, que d’une ce n’était pas possible financièrement, mais qu’il n’y avait pas d’eau chaude, la salle de bain était partagée et que ce n’était pas non plus le lieux le plus propre, pas d’isolation phonique ou de vrai coupure avec dehors (insecte et sable un peu dans la chambre). En revanche, nous n’avons souffert d’aucun manque de confort et nous y avons trouvé l’hospitalité polynésienne et étions intégré dans une vrai famille. Il y a eu un énorme quiproquo entre la mamie et l’oncle et nous, personne n’était d’accord sur le prix.

Bref, après un énorme malaise Poiti (12ans) vient démêler la situation avec « C’est bon Mamie, laisse ».  On ne remerciera jamais assez ce petit garçon, qui a été un vrai ami, un guide local et qui est bien plus mature qu’un garçon de 12 ans.

Nous repartons soulagés de cette île fabuleuse en direction de Tahiti. On nous accueille enfin avec une pancarte (notre rêve) ! C’est le loueur de voiture, Merci à Cyril, on va pouvoir se déplacer comme on veut sur cette île ! On est prêt à profiter à fond de nos derniers moments en Polynésie.

En Bilan de Fakarava, on a adoré la plongée, cette île paradisiaque et l’hospitalité de nos hôtes !!!